Uber Files : conséquences de l'ubérisation [Rapport d'information - Assemblée nationale]
- identifier l’ensemble des actions de lobbying menées par Uber pour s’établir en France, le rôle des décideurs publics de l’époque et formuler des recommandations quant à l’encadrement des relations entre décideurs publics et représentants d’intérêts.
- évaluer les conséquences économiques, sociales et environnementales de l’ubérisation dans notre pays et les réponses, apportées ou à apporter, par les décideurs publics.
Le rapport retrace ainsi l’évolution du cadre législatif et réglementaire du secteur du transport public particulier de personnes (T3P) lors des années d’implantation des VTC, en particulier d’Uber.
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"Assurer une application intégrale des lois relatives aux plateformes et notamment les « lois Thévenoud et Granguillaume »". Elle rappelle que la « loi Thévenoud » prévoyait, notamment pour les VTC, l’obligation d’un retour au garage entre deux courses et l’interdiction de la maraude électronique. La loi «Grandguillaume » prévoit, quant à elle, la transmission de données à l’administration par les opérateurs de VTC et la création de commissions locales des transports publics particuliers de personnes ;
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"Relancer le projet Le.Taxi et se donner les moyens de faire aboutir la création d’un bouton « Y aller en taxi » sur l’ensemble des applications de mobilité."