Observatoire Cetelem 2017 de la consommation
L'Observatoire Cetelem 2017 de la consommation fait le point sur la consommation en Europe, où elle a fait l'objet d'une crise de confiance ces dernières années.
Il révèle que le moral des européens est au plus haut depuis 10 ans, le taux de croissance étant positif dans tous les pays du périmètre de l'Observatoire depuis plusieurs trimestres et les Européens constatant une amélioration de la situation générale des différents pays. Les intentions de consommer retrouvent leur niveau d'avant 2008, même si des doutes persistent sur le pouvoir d'achat (notamment en France). Les Européens (et plus particulièrement les Français) expriment leur méfiance et leur inquiétude vis-à-vis de la situation actuelle et future.
Ce manque de confiance impacte la consommation, 45 % préférant épargner en cas d'un éventuel coup dur. 90 % comparent davantage les prix avant d'acheter, 79 % font davantage de devis, 38 % font appel à des facilités de paiement et 31 % reportent plus leurs achats.
Pour inverser cette baisse de confiance, les Européens identifient plusieurs leviers : l'augmentation des salaires, la baisse du chômage, la croissance et la réduction des inégalités. Ils accordent davantage leur confiance aux marques, surtout celles qui proposent des produits et/ou services de qualité, et soignent leur image. Les labels et certifications contribuent également à donner confiance à 69 % des consommateurs.
Les consommateurs sont plus enclins à recourir à l'économie de partage dans leurs pratiques de consommation, notamment pour l'achat/vente d'objets (44 %), l'échange de biens ou services entre particuliers (32 %), la location de logement (16 %) ou le covoiturage (14 %).
Il révèle que le moral des européens est au plus haut depuis 10 ans, le taux de croissance étant positif dans tous les pays du périmètre de l'Observatoire depuis plusieurs trimestres et les Européens constatant une amélioration de la situation générale des différents pays. Les intentions de consommer retrouvent leur niveau d'avant 2008, même si des doutes persistent sur le pouvoir d'achat (notamment en France). Les Européens (et plus particulièrement les Français) expriment leur méfiance et leur inquiétude vis-à-vis de la situation actuelle et future.
Ce manque de confiance impacte la consommation, 45 % préférant épargner en cas d'un éventuel coup dur. 90 % comparent davantage les prix avant d'acheter, 79 % font davantage de devis, 38 % font appel à des facilités de paiement et 31 % reportent plus leurs achats.
Pour inverser cette baisse de confiance, les Européens identifient plusieurs leviers : l'augmentation des salaires, la baisse du chômage, la croissance et la réduction des inégalités. Ils accordent davantage leur confiance aux marques, surtout celles qui proposent des produits et/ou services de qualité, et soignent leur image. Les labels et certifications contribuent également à donner confiance à 69 % des consommateurs.
Les consommateurs sont plus enclins à recourir à l'économie de partage dans leurs pratiques de consommation, notamment pour l'achat/vente d'objets (44 %), l'échange de biens ou services entre particuliers (32 %), la location de logement (16 %) ou le covoiturage (14 %).
Source(s) :
L'Observatoire Cetelem 2017 - Consommation en Europe : les nouveaux chemins de la confiance / Cetelem .- in : Observatoire Cetelem (L'), 2017, 94p. - En ligne sur le site de L'Observatoire Cetelem