24ème baromètre KPMG/CGPME : 41 % des dirigeants interrogés sont plutôt inquiets pour leur propre activité
Le 24ème baromètre de KPMG et de la CGPME sur le financement et l'accès au crédit des PME indique que 41 % des chefs d'entreprises sont plutôt inquiets pour leur activité pour les mois à venir.
Parmi les principales difficultés rencontrées, les chefs d'entreprise mentionnent la baisse du chiffre d'affaires, les hausses sur les coûts ou les prix des fournisseurs, des problèmes de trésorerie ou de financements, ou des difficultés avec l'assureur crédit.
39 % des dirigeants estiment que la situation économique actuelle a des impacts négatifs sur les conditions d'accès au crédit de leur entreprise, tandis que 46 % pensent qu'elle n'a aucun impact.
36 % des chefs d'entreprise interrogés restreignent leurs investissements et leurs demandes auprès de leur banque en raison de difficultés d'accès au crédit.
46 % des dirigeants envisagent d'examiner les conditions d'autres banques concurrentes.
63 % des dirigeants déclarent que la création d'un CDI dont le maintien ou la rupture serait, pendant 3 ans, lié à l'évolution des résultats ou du chiffre d'affaires de leur entreprise, a un caractère incitatif.
Pour 42 % d'entre eux, le coût du travail est un frein à l'emploi.
55 % trouvent efficace la possibilité pour une entreprise de prêter à un fournisseur ou à un sous-traitant sans passer par le système bancaire.
Parmi les principales difficultés rencontrées, les chefs d'entreprise mentionnent la baisse du chiffre d'affaires, les hausses sur les coûts ou les prix des fournisseurs, des problèmes de trésorerie ou de financements, ou des difficultés avec l'assureur crédit.
39 % des dirigeants estiment que la situation économique actuelle a des impacts négatifs sur les conditions d'accès au crédit de leur entreprise, tandis que 46 % pensent qu'elle n'a aucun impact.
36 % des chefs d'entreprise interrogés restreignent leurs investissements et leurs demandes auprès de leur banque en raison de difficultés d'accès au crédit.
46 % des dirigeants envisagent d'examiner les conditions d'autres banques concurrentes.
63 % des dirigeants déclarent que la création d'un CDI dont le maintien ou la rupture serait, pendant 3 ans, lié à l'évolution des résultats ou du chiffre d'affaires de leur entreprise, a un caractère incitatif.
Pour 42 % d'entre eux, le coût du travail est un frein à l'emploi.
55 % trouvent efficace la possibilité pour une entreprise de prêter à un fournisseur ou à un sous-traitant sans passer par le système bancaire.
Source(s) :
Baromètre sur le financement et l'accès au crédit des PME - Vague 24 - Mars 2015 / IFOP, CGPME et KPMG .- in : KPMG, n° 24, 01/03/2015, 22p. - En ligne sur le site de KPMG