Mise à jour le 02/07/2025

Insee, Dares
Emploi, chômage, revenus du travail. Edition 2025. - Paris : INSEE Références, 26/06/2025, 126 p. 
L'Insee fournit des données chiffrées sur l'emploi, le chômage, l'activité et l'inactivité, le temps et les conditions de travail, les revenus et les coûts du travail en France et en Europe.
Fin 2024, 30,4 millions de personnes sont en emploi : 27 millions exercent une activité principalement salariée et 3,4 millions une activité non-salariée.
Après avoir diminué dans les années 90 jusqu'au début des années 2000, la part des artisans, commerçants, chefs d'entreprise est restée relativement stable avant de se redresser légèrement depuis 2020. En 2024, 6,8 % des personnes en emploi sont artisans, commerçants, chefs d'entreprise. 13,3 % des personnes en emploi ont le statut d'indépendant parmi lesquels 3,6 % sont micro-entrepreneurs.
"Fin 2023, hors secteur agricole, 3,7 millions de personnes exercent une activité non salariée, à titre principal ou en complément d'une activité salariée." Parmi elles, 14,5 % travaillent dans le commerce et l'artisanat commercial. "Les micro?entrepreneurs (ME) économiquement actifs représentent un peu plus de la moitié (51 %) des non?salariés (...)".
Hors agriculture et ME, les non-salariés classiques perçoivent en moyenne un revenu d'activité de 4 040 euros par mois (2 540 euros/mois pour les métiers de bouche ; 1 570 euros pour les taxis et VTC ; 1 650 euros pour la coiffure et les soins de beauté).
L'édition 2025 inclut trois dossiers : L'amélioration du marché du travail depuis 2015 a-t-elle aussi concerné les personnes qui en sont habituellement éloignées ? ; Dans les grands corps de l'État, les inégalités salariales liées au genre se cumulent au fil de la carrière ; Un travailleur sur deux utilise intensivement le numérique dans son travail.
En ligne sur le site de l'Insee 

Comprendre les transitions professionnelles grâce à la datavisualisation. - Paris : Dares, 16/06/2025, mult.p. 
La Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares) du ministère du Travail publie, sous forme de datavisualisation, des données sur les transitions professionnelles par familles professionnelles (3 niveaux : FAP22, FAP87, FAP225).
Pour chaque métier, sont détaillées des données sur les mobilités entrantes et sortantes entre janvier 2022 et janvier 2023, avec la possibilité de filtrer par Genre, Type de contrat, Tranche d'âge, Taille de l'établissement (dont 1 à 9 salariés), Secteur public/privé, Région de résidence, Lieu de naissance, Secteur d'activité.

Parmi l'ensemble des salariés travaillant dans un établissement ayant entre 1 et 9 salariés en janvier 2023, 64,8 % exerçaient leur activité dans le même métier au niveau FAP225 en janvier 2022.
"Parmi ceux qui n'exerçaient pas encore leur activité dans le même métier en janvier 2022 :

  • 1,3 % étaient des jeunes sortants d'études initiales,
  • 7,4 % étaient inscrits à France Travail,
  • 7,5 % étaient classés dans Autres situations, c'est-à-dire étaient inactifs, indépendants, employés par un particulier ou résidaient à l'étranger."
En ligne sur le site de la Dares 

Dares, Morel Makiko, Ramajo Ismaël
Dépenses en faveur de l'emploi et du marché du travail en 2023 - Une stabilisation générale des dépenses mais des évolutions différenciées selon les postes. - in : Dares résultats, 16/04/2025, n°14, 4 p.
En 2023, plus de 190 milliards d'euros ont été dépensés en faveur de l'emploi et du marché du travail (+ 0,1 %, stable par rapport à 2022).
Les dépenses d'incitation à l'embauche augmentent de 2 % dans leur ensemble, tandis que les dépenses d'incitation à l'activité diminuent légèrement (- 1 %).
Les dépenses de soutien au revenu en cas de perte d'emploi ou de réduction d'activité baissent de - 2 %. Celles allouées à la formation professionnelle diminuent de - 3 %, en raison notamment du recul du CPF et des conventions du FNE en faveur de la formation. Les dépenses en faveur de l'apprentissage ont augmenté de + 4 % (contre + 20 % en 2023). "Cette décélération tient à une augmentation du nombre d'apprentis nettement moins soutenue que les années précédentes."
En ligne sur le site de la Dares

France Travail
Besoins en main-d'oeuvre 2025. - Paris : France Travail, 11/04/2025, 81 p.
L'enquête BMO 2025 (*) apporte des éléments chiffrés sur les établissements qui envisagent de recruter, les projets de recrutement par type d'établissement, par bassin d'emploi et par région, et les métiers faisant l'objet de projets de recrutement.
Les intentions de recrutement des employeurs sont en baisse pour 2025 par rapport à 2024 (- 12,5 %). 24,1 % des établissements envisagent d'embaucher en 2025 (28,2 % en 2024). 24 % des projets d'embauches émanent des établissements sans salarié.
La part des embauches jugées difficiles s'élève à 50 % (- 7,3 points par rapport à 2024). 57 % des projets sont déclarés difficiles dans les entreprises de 5 à 9 salariés.
Selon l'enquête, certains secteurs de l'artisanat font face à des difficultés de recrutement, comme
  • les métiers de bouche, avec des projets d'embauche jugés difficiles à 74 % dans la boucherie, 69 % chez les charcutiers traiteurs et 55 % en boulangerie-pâtisserie ;
  • les métiers du bâtiment, où ils le sont à 82 % pour les couvreurs, 78 % les charpentiers bois et métal, 73 % pour les maçons qualifiés, 68 % pour les plombiers-chauffagistes, 65 % pour les ouvriers en électricité du bâtiment ;
  • l'automobile, notamment chez les carrossiers automobiles (81 %) et les ouvriers mécaniciens de véhicules (74 %) ;
  • les coiffeurs et les esthéticiens (72 %).

Une enquête complémentaire interroge sur les principales difficultés de recrutement envisagées par les employeurs, la résolution des difficultés de recrutement [recours à France Travail et à la formation], le type de contrats proposé par les employeurs potentiellement recruteurs, l'usage des différents contrats de travail selon le motif d'embauche, le recours ou le non-recours à France Travail, le bilan de l'activité et des recrutements en 2024 et les difficultés rencontrées.

En annexe : base de sondage, retours et redressement.
Des fiches de synthèse sont complémentaires à l'enquête, des fiches sectorielles et des publications régionales sont également disponibles.
[Données sur le travail saisonnier].

(*) Enquête réalisée fin 2024 auprès de l'ensemble des employeurs hors administrations de l'État (Ministères, Police, Justice...) et des entreprises publiques (Banque de France...). 1 786 449 employeurs ont été interrogés, 445 932 ont répondu au questionnaire.
En ligne sur le site de France Travail

ISM, MAAF
Les chiffres de l'emploi dans l'artisanat. - in : ISM, 01/12/2024, 4 p. - (Baromètre de l'artisanat (ISM))
Le "baromètre de l'artisanat", publication de l'Institut Supérieur des Métiers réalisée avec le soutien de MAAF, met en avant les grandes tendances d'évolution du secteur de l'artisanat dans ses différentes composantes économiques et sociales.
Le numéro consacré aux chiffres de l'emploi dans les entreprises artisanales de moins de 20 salariés dénombre près de 1 919 000 salariés fin 2023 (soit 10 % de l'ensemble du secteur privé), et de 1 210 000 travailleurs indépendants (26 % de l'ensemble du secteur privé), dont 60 % exercent sous le régime de la micro-entreprise.
L'emploi salarié a fortement augmenté entre 2019 et 2022, période marquée par la crise sanitaire, puis a baissé de 1,2 % en 2023, les entreprises ayant été impactées par par la crise énergétique. Les secteurs de l'artisanat de fabrication et du BTP sont les plus touchés par les destructions d'emplois salariés. En revanche, les services de l'automobile sont restés dynamiques.
La quasi-totalité des régions sont concernées par le recul de l'emploi salarié en 2023.
Le nombre de déclaration préalables à l'embauche a augmenté de 15 % entre 2019 et 2023 (3 500 000 recrutements déclarés en 2023, chiffre stable depuis 2022).
Le nombre de micro-entrepreneurs est en forte progression parmi les travailleurs indépendants, représentant 60 % du total des non-salariés fin 2022. C'est dans l'artisanat de fabrication que la part des micro-entrepreneurs a le plus augmenté (+ 117 % entre 2017 et 2022). 77 % des micro-entrepreneurs sont actifs économiquement. Les micro-entrepreneurs sont plus actifs qu'en moyenne dans certains secteurs d'activité, comme celui de la coiffure (91 %), ou dans de nombreux métiers d'art.
Le revenu moyen des indépendants des régimes classiques s'élève à 28 670 € et celui des micro-entrepreneurs à 5 052 €. Le montant varie en fonction des secteurs et du sexe.
En ligne sur le site de l'ISM (après identification)

Insee
Formations et emploi. - Paris : Insee, 12/02/2025, 170 p. (Insee Références)
Le document analyse la formation des jeunes et des adultes ainsi que l'insertion des jeunes sur le marché du travail.
Il comprend notamment des fiches thématiques sur :
  • l'insertion des jeunes : actifs de 15 à 29 ans, situations d'activité, chômage en phase d'insertion professionnelle, statuts des emplois, jeunes en emploi aidé, professions et secteurs d'activité, salaires, insertion des apprentis du CAP au BTS, insertion des lycéens et étudiants du CAP au BTS, insertion des diplômés du supérieur, trajectoires en début de carrière, mobilités et situation en début de carrière, inégalités en début de carrière, domaine de formation et situation d'activité des jeunes, situation des jeunes sur le marché du travail par région, emploi et chômage des jeunes, comparaisons européennes.
Le nombre de diplômes délivrés dans l'enseignement supérieur est en constante hausse (+ 37 % entre 2007 et 2022). En 2023, 62 % des apprentis préparent un diplôme du supérieur (contre 39 % en 2017). Les jeunes moins diplômés accèdent plus difficilement à l'emploi.
En ligne sur le site de l'Insee 

Insee, Partouche Rébecca
Portrait des professions en France.- in : Insee Focus, 29/04/2024, n°324, 5 p.
Le portrait des professions en France fournit des données sur la répartition des personnes en emploi selon le groupe socioprofessionnel de 1982 à 2022, la répartition par âge, par sexe, par niveau de diplôme, par statut d'emploi, des groupes socioprofessionnels en 2022, le travail en horaires atypiques (la nuit, le soir, le week-end), le temps partiel, le sous-emploi, selon le groupe socioprofessionnel (dont artisans).
Les artisans, commerçants, chefs d'entreprise représentent 6,8 % des personnes en emploi en 2022 (7,7 % en 1982). 3,3 % sont artisans. 24,8 % d'entre eux sont des femmes. 59,9 % des artisans ont entre 25 et 49 ans. 18,8 % ont un diplôme supérieur à bac + 2, 37,4 % détenant un CAP, BEP ou équivalent. 99,2 % sont indépendants.
35,2 % des artisans travaillent le soir et 64 % le samedi (contre respectivement 29,8 % et 41,3 % en moyenne pour l'ensemble des groupes socioprofessionnels). En revanche, le temps partiel y est moins répandu que la moyenne : il concerne 15 % des artisans (contre 17,3 % en moyenne). Le sous-emploi concerne 5,3 % du groupe socioprofessionnel des artisans.
En ligne sur le site de l'Insee

Dares
L'emploi dans les très petites entreprises en 2022. - in : Dares résultats, 16/01/2024, 4 p.
D'après les données issues de la Déclaration Sociale Nominative (DSN)*, les entreprises de 1 à 9 salariés regroupent 18,3 % de l'emploi salarié du secteur privé (hors agriculture) en 2022. 37,9 % des entreprises n'emploient qu'un seul salarié. Elles travaillent principalement dans le secteur du commerce-transport-hébergement-restauration (35,6 %), des services aux entreprises (15,8 %) et de la construction (15,3 %).
24,4 % des salariés des TPE travaillent à temps partiel (37,9 % dans les entreprises « mono-salarié »).
17 % des TPE recourent aux CDD et 8,9 % des salariés des TPE sont apprentis.
La durée hebdomadaire contractuelle moyenne de travail des salariés à temps complet est de 36,1 heures dans les TPE, elle est de 17 heures pour les salariés à temps partiel.
Les femmes représentent 46,6 % des salariés dans les TPE contre 45,1 % dans les entreprises de 10 salariés et plus.
*Données sur les entreprises de 1 à 9 salariés de France hors Mayotte à l'exception des secteurs suivants : agriculture, administration publique (État, collectivités locales, hôpitaux et administrations de sécurité sociale), particuliers employeurs et activités extraterritoriales.
En ligne sur le site de la Dares

Dares, France Stratégie
Les métiers en 2030 - Quelles perspectives de recrutement en région ?. - Paris : Dares, 26/07/2023, 196 p.
La Dares et France Stratégie publient une étude prospective sur les difficultés de recrutement à l'échelon régional, qui complète celle à l'échelon national publiée en mars 2022. Elle analyse la dynamique régionale des recrutements en 2030 et dresse un panorama prospectif des métiers par région.

La dynamique régionale de l'emploi varie en fonction de la géographie des métiers et de la démographie. Les départs de fin de carrière contribuent aux besoins de recrutement dans toutes les régions. Les jeunes débutants sur le marché de l'emploi, plus présents en Ile-de-France et en Hauts-de-France pourront les combler. Mais ces jeunes entrants restent moins nombreux que les seniors quittant le marché de l'emploi. Les mobilités géographiques renforceront également les difficultés de recrutement dans les régions marquées par des départs nets (les régions du Sud et de l'Ouest affichent un solde migratoire excédentaire).

Les tensions sur les recrutements devraient s'accroître dans les régions de l'Ouest et du Sud. "D'ici 2030, entre 6 % et 9 % des recrutements ne seraient pas couverts par les jeunes débutants ou les nouveaux travailleurs résidents." Elles seraient moins marquées dans les régions intérieures moins densément peuplées ainsi que dans le Grand Est et les Hauts-de-France : "entre 2 % et 3 % des recrutements ne seraient pas spontanément pourvus par les jeunes débutants."
La région Ile-de-France se situerait au même niveau que sur le territoire national (5 %).

"Les métiers dont la tension forte risque de s'accentuer à l'horizon de 2030 représentent 42 % de l'emploi de la Bretagne (22 métiers) et 35 % de l'emploi des Pays de la Loire (23 métiers)" (la moyenne nationale est de 25,2 %).

Panorama régional (2019-2030) : chiffres sur les besoins de recrutement, métiers les plus créateurs d'emplois, métiers à forts besoins de recrutement, métiers où les déséquilibres potentiels sont les plus importants, déséquilibres potentiels pour les dix métiers surreprésentés, typologie des métiers en fonction de leur démographie et de leurs mobilités professionnelles.
En ligne sur le site de la Dares 

Dares
Portraits statistiques des métiers. - Paris : Dares, 08/09/2022, mult p.
La Dares présente les portraits statistiques de 225 métiers répartis en 22 catégories sur la période 1983-2019 à partir de l'enquête Emploi (Insee), du recensement de la population (Insee), des données Dares et Pôle emploi.
Chaque métier est caractérisé par des données sur la dynamique de l'emploi, les caractéristiques des personnes en emploi, la qualité de l'emploi, les caractéristiques des employeurs, les demandeurs d'emploi et les tensions sur le marché du travail.
Les catégories de métiers présentées sont l'agriculture, la marine et la pêche ; le bâtiment et les travaux publics ; l'électricité et l'électronique ; la mécanique et le travail des métaux ; les industries de process ; les matériaux souples, le bois et les industries graphiques ; la maintenance (dont les ouvriers qualifiés de la réparation automobile) ; les ingénieurs et les cadres de l'industrie ; les transports, la logistique et le tourisme ; l'artisanat (artisans et ouvriers artisanaux) ; la gestion et l'administration des entreprises ; l'informatique et les télécommunications ; les études et la recherche ; l'administration publique, les professions juridiques, l'armée et la police ; la banque et les assurances ; le commerce ; l'hôtellerie, la restauration et l'alimentation (dont bouchers-charcutiers-boulangers) ; les services aux particuliers et aux collectivités (dont les coiffeurs-esthéticiens) ; la communication, l'information, les arts et spectacles ; la santé, l'action sociale, culturelle et sportive ; l'enseignement et la formation ; la politique et la religion.
Un comparateur permet de constater les différences entre deux métiers sur les principaux indicateurs.
En ligne sur le site de la Dares

Dares, France Stratégie
Les métiers en 2030. - Paris : Dares, 10/03/2022, 196 p.
La Dares et France Stratégie publient une étude prospective sur les métiers à l'horizon 2030. Elle analyse les créations d'emplois par secteurs et par métiers ; les besoins de recrutement des entreprises compte tenu des départs en fin de carrière et enfin les déséquilibres potentiels si on confronte les besoins de recrutements des employeurs en 2030 avec l'arrivée des jeunes débutants sur le marché du travail.
Entre 2019 et 2030, on dénombre 1,8 million d'emplois supplémentaires pour les diplômés du supérieur, notamment dans le commerce, la construction ou l'industrie.
Les départs en retraite représentent 90 % des postes à pourvoir (agents d'entretien, conducteurs de véhicules, ouvriers qualifiés du bâtiment, etc).
L'étude indique également des métiers avec des tensions qui pourraient s'accentuer (Ouvriers qualifiés du gros œuvre du bâtiment), des métiers pour lesquels les tensions pourraient se réduire (Coiffeurs-esthéticiens), des métiers avec des nouvelles difficultés potentielles de recrutement (Ouvriers du textile et du cuir) et des métiers pour lesquels les tensions pourraient se maintenir (Bouchers, charcutiers, boulangers).
En ligne sur le site de la Dares

U2P, ISM.
Les entreprises de proximité au féminin. Artisanat - Commerce - Professions libérales. - Paris : U2P, 01/03/2022, 54 p. (Etudes & chiffres clés (U2P)).
Après une première édition en 2019, l'Union des entreprises de proximité (U2P) a reconduit, en collaboration avec l'ISM, un panorama complet de la place des femmes dans les entreprises de proximité (artisanat, commerce, professions libérales).
45 % des salariés des secteurs de proximité sont des femmes (+ 2 %, la hausse étant surtout portée par l'artisanat du BTP et l'alimentation). Elles exercent davantage dans des métiers de services ou des fonctions transversales de gestion-administration ou de vente. 87 % sont en contrat à durée indéterminée (CDI) et 64 % travaillent à temps plein (contre 85 % des hommes). L'écart salarial entre les hommes et les femmes est stable, à 12,93 % (et nul ou presque pour les coiffeurs et les taxis).
L'étude prend en compte les dirigeantes d'entreprises, les créatrices d'entreprises, les salariées, et les apprenties des secteurs de l'artisanat (alimentation, BTP, fabrication, services), du commerce alimentaire de détail, de l'hôtellerie-restauration et des professions libérales (droit, santé, techniques et cadre de vie).
En ligne sur le site de l'U2P