L'avenir des fleuristes traditionnels est incertain, le secteur étant concurrencé par de nouveaux concepts, qui occasionnent l'arrivée de nouveaux acteurs.
Toutes les régions françaises voient s'éroder le nombre de fleuristeries traditionnelles, même si celles-ci contrôlent encore l'essentiel du marché. Plusieurs facteurs explicatifs sont identifiés : baisse du nombre d'apprentis, magasins low cost, explosion des ventes en ligne...
L'activité a progressé de 1,1 % en 2016, mais on constate en 2017 un recul des achats de végétaux. Le marché reste néanmoins porteur et offre de vraies opportunités à ceux qui voudraient s'y engager.
30 % des employeurs du secteur ont plus de 50 ans, et devront transmettre leur entreprise d'ici 10 à 15 ans.
Le blues des fleuristes / Negrouche Nasser .- in : CGA Contact, n° 123, 01/11/2017, 2p. - En ligne sur le site de la FCGA